TCF Canada : actualités, conseils et préparation

Passez le TCF Canada à Kunming : toute l’info, les conseils et la préparation avec l’Alliance Française.

Un ours blanc, représenté dans un style cartoon et présenté comme la mascotte du TCF Canada, se tient devant une maison de briques. Il tient un petit drapeau canadien orné de la feuille d’érable rouge. La scène se déroule devant un garage vert clair, sous une lumière douce, avec quelques plantes disposées près de l’entrée. L’ensemble crée une atmosphère chaleureuse et légèrement ludique, comme une illustration destinée à accueillir ou guider les futurs candidats au test.

Au-delà du TCF : le vrai parler canadien

Même avec un excellent score au TCF Canada, le français du Québec peut surprendre. Entre les mots du quotidien et les expressions locales, la réalité n’a rien à voir avec le français des manuels. Voici un aperçu rapide des expressions indispensables pour vraiment comprendre la vie au Québec.

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1.Pourquoi le TCF Canada n’enseigne-t-il pas tout cela ?

Objectif du TCF Canada :

Évaluer ta capacité à communiquer dans des contextes formels, académiques et professionnels. C’est pourquoi l’examen se concentre sur un français standard et largement compris.

Le charme du français québécois :

Il conserve des accents d’ancien français et a été façonné par l’histoire et l’influence de l’anglais. D’où un accent, un vocabulaire et des tournures de phrases uniques.

La différence essentielle :

Il ne s’agit pas de « bon » ou de « mauvais » français, mais d’une richesse entre langue standard et variétés régionales. Les connaître, c’est la clé pour vraiment t’intégrer au quotidien.

2.Indispensable pour survivre ! 5 mots québécois que tu entendras dès ta descente de l’avion

3. Au-delà du vocabulaire — comprendre la manière de parler des Québécois

Usage très fréquent de « tu » :

Au Québec, on utilise « tu » beaucoup plus souvent qu’en France, même dans des situations semi-formelles ou avec du personnel de service. Cela crée une ambiance plus chaleureuse et détendue. Il ne faut pas y voir un manque de politesse.

Négation particulière :

À l’oral, le « ne » est presque toujours omis, et seul « pas » reste. Par exemple : « Je sais pas. » C’est comme en français familier, mais au Québec, c’est pratiquement systématique.

Questions simplifiées :

On pose très souvent les questions sans inversion, simplement avec l’intonation. Par exemple : « Tu vas où ? » plutôt que « Où vas-tu ? ».

4. Mise en situation — deux petits dialogues de la vie quotidienne

Scène 1 : Au café

Toi (français standard) :

« Bonjour, je voudrais un café au lait, s’il vous plaît. »

Employé (français québécois) :

« Okay, un café latté pour ici ? »

Ce que tu peux entendre :

« Ça va être 4,50 $. Tu payes par carte ? »

(À noter : l’usage de « tu ».)

Scène 2 : Invitation entre amis

Version bien québécoise :

« Salut ! On se fait un souper à la maison samedi ? T’amènes ta blonde. »

Traduction :

« Salut!On fait un dîner chez nous samedi ? Amène ta copine. »

Version bien québécoise :

« On va être une gang, ça va être l’fun ! »

Traduction :

« On sera tout un groupe, ça va être super fun ! »

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